The post Evitez ces erreurs les plus courantes pour obtenir un prêt personnel le moins cher en Belgique. appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>Le seuil pour contracter un prêt est beaucoup plus élevé qu’il y a 5 ans. Cela est principalement dû au haut niveau des taux d’intérêt. Raison de plus pour prendre le temps de bien vous renseigner, voire de vous faire aider. Voici quelques pièges que vous pouvez éviter.
De plus en plus de banques adoptent le crédit numérique. Il est donc très facile de contracter un crédit en ligne. Il y a cependant un inconvénient à cela: il n’y a personne pour vous conseiller et vous guider dans la bonne direction. C’est pourtant quelque chose de crucial si vous souhaitez, par exemple, contracter un prêt voiture ou un prêt travaux. Le taux d’intérêt de ces produits dépend du projet que vous souhaitez financier. En ne faisant pas attention, vous risquez de demander le mauvais prêt et de payer beaucoup trop d’intérêts.
Prenons l’exemple d’un prêt travaux. Vous avez ainsi deux options: le prêt à la rénovation normal et le prêt vert. Si vous optez pour le prêt travaux alors que vous êtes éligible au prêt vert, vous allez payer des centaines d’euros en trop. Notre comparaison montre que le prêt vert le moins cher est jusqu’à 80 points de base moins cher que le prêt à la rénovation le moins cher.
Lorsqu’une personne contracte un crédit en ligne, il est difficile pour elle de savoir si elle est admissible ou non à un prêt vert. En effet, chaque banque a ses propres critères. Alors qu’une banque va demander qu’au minimum 50% du montant du crédit soit consacré à des rénovations éco-énergétiques, une autre va peut-être demander que 80% du montant y soit consacré.
Le raisonnement est le même si vous contractez un prêt voiture. Il faut vérifier les conditions pour s’assurer de choisir le bon prêt. Le tarif dépend du type de voiture. Ainsi, un crédit pour une voiture neuve est moins cher que pour une voiture d’occasion. Et c’est là qu’il y a un hic. Chaque banque a ses propres critères concernant les voitures d’occasion. L’une va considérer une voiture comme d’occasion après deux années d’utilisation alors qu’une autre va la considérer ainsi après trois années. Cela ne facilite pas la comparaison de prêts voiture.
Que faire dans cas ? Vous pouvez prendre le temps de comparer les différents types de prêts, et vous assurer de choisir celui au meilleur taux, ou mieux encore, rendez-vous sur notre page four faire une simulation de prêt, et bénéficiez de l’aide de nos conseillers financiers. Ils se chargeront gratuitement de trouver la formule la plus optimale pour financer votre projet!
Il existe des tarifs avantageux pour les personnes qui achètent une voiture éco-énergétique. Par exemple, Belfius adapte son tarif au type de voiture que vous achetez. Ainsi, la banque fait une distinction entre les voitures électriques, celles avec installation GPL et les voitures économes en CO2.
Une personne ayant établi une relation de confiance avec une banque est moins susceptible de regarder les offres financières d’autres banques. Pourtant c’est en regardant les offres des autres banques que vous pouvez économiser beaucoup d’argent. En effet, lorsque vous contractez un crédit auprès de votre banque, vous n’êtes pas sûr d’avoir le taux le plus bas du marché. Par exemple, la différence entre le prêt personnel le moins cher et le plus cher peut aller jusqu’à 5 points de pourcentage ou plus.
Prenons un exemple: si vous souhaitez emprunter 10.000 euros (pour une durée de 48 mois), vous pouvez économiser jusqu’à 1.100 euros en optant pour le crédit le moins cher. Vous souhaitez savoir qui offre le crédit le moins cher ?
Certaines personnes qui souhaitent contracter un crédit ont une idée fixe du montant et de la durée qu’ils veulent. Il faudrait pourtant être un peu plus flexible pour économiser de l’argent sur son prêt personnel. En effet, le TAEG d’un tel prêt dépend fortement du montant et de la durée du crédit. La différence peut parfois atteindre quelques points de pourcentage.
Pour les autres prêts (prêts-auto, prêts travaux …), la durée et le montant du crédit ont un très faible impact sur les intérêts. Les banques appliquent généralement un taux uniforme pour tous les durées et montants de crédits.
Maintenant, il reste à savoir si le crédit est réellement nécessaire. Après tout, il s’accompagne d’un certain nombre d’obligations. Par exemple, la banque s’attend à ce que vous remboursiez chaque mois une partie du montant emprunté. Si vous ne respectez pas vos engagements, vous pourriez vous retrouver sur la liste noire. La banque pourra alors vous facturer des frais supplémentaires sous forme d’intérêts de retard.
Il vous faudra toujours vérifier si un crédit est le bon choix pour vous. Il y a d’autres alternatives: épargner pour réduire le montant du crédit ou alors pour payer la totalité du produit désiré.
The post Evitez ces erreurs les plus courantes pour obtenir un prêt personnel le moins cher en Belgique. appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>The post Fiché(e) sur la liste noire en 2023 ? Voici ce que vous pouvez encore faire appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>Un défaut de paiement signalé par votre banquier, et vous voilà fiché sur la liste de noire de la Banque Nationale de Belgique (BNB). Cela n’est pas sans conséquence : vous êtes alors fortement limité dans votre capacité à contracter un nouveau pret personnel. En tant que mauvais payeur, il devient quasiment impossible d’obtenir un prêt, que ce soit pour l’achat d’une nouvelle voiture ou pour financer un voyage à l’étranger. La question que vous vous posez est alors la suivante : que faire si je suis sur la liste noire ?
Suivant le type de contrat signé avec votre banque, des défauts de paiement peuvent mener à vous retrouver sur la liste noire.
Fin janvier 2022, la Centrale des Crédits aux Particuliers (CCP) de la Banque Nationale de Belgique (BNB) comptait 412.000 contrats de crédit à la consommation impayés en Belgique.
La liste noire est un fichier centralisé ayant pour but d’éviter le surendettement des particuliers. Elle permet de protéger le consommateur de lui-même en évitant qu’il ne puisse enchaîner les retards de paiement, ce qui lui ferait accumuler des pénalités et augmenterait considérablement sa charge financière.
Nous vous apportons ici les réponses aux questions que vous vous posez concernant vos options lorsque vous apparaissez sur la liste noire de la BNB.
Si vous êtes fiché sur la liste noire et que vous ne possédez pas de bien immobilier (maison, terrain), vous serez confronté à un refus de prêt. Vous ne pourrez en effet pas demander un nouveau crédit et cela vaut pour tous les types de prêts. Votre prêteur a en effet l’obligation légale de consulter la liste noire avant de vous octroyer un crédit. Vos dettes existantes doivent quant à elles bien sûr toujours être remboursées au prêteur.
Si vous souhaitez tout de même emprunter de l’argent, vous devrez opter pour des moyens alternatifs. Vous pouvez par exemple :
Cependant, il est plus sage de repousser vos projets et de tenter d’économiser un peu d’argent.
La réponse est oui. Il existe en effet un moyen alternatif d’obtenir un prêt lorsque vous êtes fiché sur la liste noire de la BNB, celui de mettre votre bien immobilier en contrepartie. Les banques ont en effet la possibilité de prendre une garantie hypothécaire sur l’un des biens immobiliers de l’emprunteur. Vous contractez alors un prêt à tempérament avec une garantie hypothécaire. Si vous ne pouvez pas rembourser, la banque pourra saisir de votre bien et le mettre en vente pour rembourser la dette existante.
Ce type de garantie n’est valable que si votre propriété n’est pas déjà soumise à une hypothèque existante.
Lorsque vous figurez sur la liste noire, il ne vous est pas non plus possible d’obtenir une (nouvelle) carte de crédit classique auprès de votre banque.
Vous pouvez par contre opter pour une carte de crédit prépayée. Cette carte ne permet pas d’acheter à crédit, elle permet toutefois d’y charger un montant déterminé que vous pouvez utiliser pour faire des retraits, acheter en magasin et en ligne (en fonction des caractéristiques de la carte). Grâce à cette carte, vous pouvez gérer au mieux vos dépenses et évitez de dépenser de l’argent que vous n’avez pas.
Durant la période où vous figurez sur la liste noire, vous êtes interdit bancaire, mais vous pouvez toutefois toujours gérer vos affaires bancaires comme auparavant. En effet, un fichage à la Banque Nationale de Belgique ne signifie certainement pas une interdiction de payer vos courses hebdomadaires avec votre carte bancaire, d’effectuer des retraits d’espèces ou de conclure d’autres contrats bancaires ou d’assurances n’impliquant pas de crédit, telle qu’une assurance auto par exemple .
Seule la souscription d’un (nouveau) crédit vous est interdite. Afin d’éviter le surendettement, il est évidemment plus sage de limiter vos dépenses quotidiennes durant cette période. Vous pourrez ainsi rembourser vos dettes plus rapidement et être retiré du fichage de la Banque Nationale au plus vite.
Vous vous demandez sûrement pour combien de temps vous resterez fiché et surtout comment ne plus être fiché à la Banque Nationale de Belgique. Il vous suffit de régler vos dettes. Lorsque vous aurez réglé vos dettes, vous serez de nouveau en mesure de demander un prêt ou d’obtenir une nouvelle carte de crédit. Après la régularisation de votre situation, vos données seront conservées pendant encore un an sur la liste noire, mais cela ne vous empêchera pas d’obtenir un nouveau crédit. Votre prêteur pourra cependant en tenir compte dans l’évaluation de votre demande de prêt.
Si vous n’arrivez pas à rembourser vos dettes endéans l’année, vous resterez sur la liste noire pour une durée de dix ans après la date du premier défaut de paiement. Lorsque vous aurez régularisé votre situation (même après plus d’un an), vous pourrez à nouveau emprunter mais resterez fiché sur la liste noire.
Vous l’aurez compris, il est important de payer vos dettes le plus rapidement possible afin de faire table rase du passé et de recommencer à faire des projets.
Vous êtes parvenu à régler vos dettes et vous êtes à la recherche d’un nouveau crédit ? Comparez maintenant les institutions financières sur TopCompare et trouvez le prêt qui vous convient le mieux !
Comparez tous les prêts personnels ici
The post Fiché(e) sur la liste noire en 2023 ? Voici ce que vous pouvez encore faire appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>The post Héritage et dettes d’un défunt – Pourquoi il vaut parfois mieux renoncer à la succession appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>Qui paye les dettes d’un défunt ? Question difficile que pourtant vous êtes nombreux à vous poser et à vous demander si une renonciation à la succession est nécessaire. Si vous n’êtes pas encore sûr de comment protéger vos proches et comment couvrir votre situation financière en cas de décès, cet article est fait pour vous.
Le paiement des mensualités d’un emprunt après le décès de l’emprunteur dépendra de la souscription d’une assurance. Dans ce cas, c’est l’assureur qui prendra en charge le remboursement du capital auprès des créanciers de l’emprunteur. Dans certains cas, l’assurance est recommandée mais facultative notamment pour les prêts personnels. Elle s’avère par contre obligatoire pour un crédit immobilier vu l’importance de la somme d’argent mise en jeu ainsi que la durée de remboursement prévue. Elle permet de couvrir l’organisme prêteur ainsi que la famille de l’emprunteur. Et grâce à elle, vous ne devrez plus vous poser la question « Que deviennent les dettes d’une personne décédées ? ».
Une assurance « solde restant dû » liée au crédit permet de rembourser les mensualités d’un prêt en cours dans le cas où le débiteur vient à décéder. Cette assurance n’est pas obligatoire mais elle est recommandée par la plupart des banques et des organismes de crédit. D’autre part, elle vous permet de couvrir votre prêt de manière temporaire jusqu’à la fin de la durée de celui-ci.
L’assurance solde restant dû couvre le crédit en cours et prend en charge le paiement des créances selon les fonctionnalités du contrat d’assurance réalisé par le défunt avant le décès. Il est important d’avoir une assurance lorsque vous souscrivez à un prêt afin de garantir à votre famille un strict minimum de sécurité financière. Ainsi, aucune renonciation à la succession n’est à considérer pour vous protéger des créances de vos proches décédés.
Si l’emprunteur n’a souscrit à aucune assurance décès lors de la contraction d’un prêt, ce sont les avoirs de celui-ci qui serviront à payer les dettes d’un défunt. Un notaire réalisera l’inventaire des biens mobiliers et immobiliers et des fonds du défunt afin d’estimer la valeur d’actif et de passif de succession et d’en faire part aux héritiers.
Il existe trois solutions dans l’acceptation de l’héritage :
La question se pose toujours : qui paye les dettes d’un défunt ? Dans le cas de l’acceptation pure et simple, l’héritier devra supporter tous les frais et dettes de la succession.
Lorsque l’héritier accepte la succession, il ne peut plus renoncer ou accepter sous bénéfice d’inventaire. Dans ce cas, le patrimoine du défunt et celui de l’héritier sont réunis. Les biens passent à l’héritier, qui se voit également payer les dettes du défunt puisqu’elles sont également devenues ses créances.
Lorsque les héritiers ont des doutes au sujet de la succession et de qui doit payer les dettes du défunt, il peut être dangereux de l’accepter purement et simplement. En effet, comme expliqué, ils devront payer les dettes du défunt. En revanche, si les héritiers envisagent une renonciation à la succession par crainte d’existence de dettes, ils ne pourront plus l’accepter s’ils constatent par la suite que l’actif est beaucoup plus important que le passif.
Afin d’éviter aux héritiers de se retrouver dans une telle situation, la loi a prévu que les héritiers puissent accepter la succession sous bénéfice d’inventaire. Dans ce cas, un notaire dressera l’inventaire du patrimoine du défunt, et celui-ci ne sera pas fusionné avec le patrimoine des héritiers. Les éventuelles dettes du défunt ne seront donc pas à payer avec le capital des héritiers. À noter que les héritiers qui acceptent la succession sous bénéfice d’inventaire devront tout de même payer au fisc les droits de succession (qui peuvent être très élevés).
Si l’héritier refuse de payer les dettes d’un défunt, il peut signer ce que l’on appelle un acte de renonciation. Il perdra ainsi sa qualité d’héritier et n’aura donc pas à payer les éventuelles dettes du défunt. Mais en contrepartie, il ne recevra pas le patrimoine qui devait lui revenir, alors partagé entre les autres héritiers.
De plus, l’héritier ne sera pas tenu de rapporter à la succession les biens qu’il aurait reçu du vivant du défunt à titre d’avance sur sa part successorale, sauf si, à cause de ces donations, les autres héritiers ne reçoivent pas la part minimale qui leur est réservée par la loi.
Une renonciation à la succession est définitive. Si l’héritier renonce, il ne peut plus accepter la succession, même s’il apprend que le défunt disposait d’un actif dont il n’avait pas connaissance.
Il est donc important de bien se protéger lorsque vous contractez un prêt. Vous n’êtes jamais à l’abri d’un incident qui pourrait affecter la situation financière de vos proches. Car oui, savoir qui paye les dettes d’une personne décédée n’est jamais facile et peut, bien souvent, créer des tensions au sein des familles.
The post Héritage et dettes d’un défunt – Pourquoi il vaut parfois mieux renoncer à la succession appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>The post Black Friday 2021 : 5 conseils pour mieux faire votre shopping appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>Le célèbre Black Friday 2021 aura lieu ce vendredi 26 novembre ! Durant toute une journée, les magasins offrent des réductions incroyables et les chasseurs de bonnes affaires peuvent dénicher les objets et vêtements tendances à prix intéressants.
Mais malgré les rabais, faites attention à votre porte-monnaie ! En chassant les prix bas, vous pourriez perdre la notion de ce que vous dépensez. Nous allons vous donner des conseils pour faire votre shopping lors de ce Black Friday sans descendre dans le rouge.
Cette journée spéciale, appelée Black Friday pour la première fois en 1951, nous vient des États-Unis. Elle a été introduite pour lancer la saison de shopping de Noël, juste après Thanksgiving. Mais d’où vient le nom ? Et bien il fait référence à masse que représente la foule dans les magasins et sur la route. Depuis lors, ce nom est resté pour décrire le fait que ces achats du lendemain de Thanksgiving permettaient aux magasins de sortir du « rouge ». De la sorte, les comptes passaient en positif et donc du rouge au noir.
Black Friday gagne également en popularité dans notre pays. En 2020, Wordline a enregistré une augmentation de 40% des transactions en ligne en Belgique par rapport au Black Friday 2019, et une augmentation de 105% par rapport au niveau d’un vendredi ordinaire. Un nouveau record qui a fait du Black Friday le jour le plus populaire pour les achats en ligne dans notre pays.
Aujourd’hui, le terme « Black Friday » est utilisé pour décrire le jour où les commerçants offrent des réductions faramineuses pour attirer les clients dans leurs magasins en prévision des festivités de fin d’année. Aux États-Unis, le « Black Friday » est le jour le plus populaire de l’année pour les achats. À l’occasion de cet événement trépidant, les magasins ouvrent parfois à minuit, souvent pour laisser entrer les consommateurs qui font de longues files d’attente et se bousculent presque les uns les autres pour obtenir une super bonne affaire. En Belgique, les choses sont heureusement beaucoup plus calmes.
Pendant le Black Friday, il est important de prévoir un budget afin de ne pas exagérer sur les dépenses et se retrouver dans le rouge. Consultez votre solde bancaire et voyez quelles sont les dépenses devant encore être effectuées ce mois-ci. Prenez également en compte le coût de vos loisirs, tels que des dîners, sorties au cinéma et autres, et gardez des sous de côté en cas d’imprévus. De cette manière, vous saurez plus précisément ce que vous pourrez dépenser durant cette journée de folie.
Il est également judicieux d’établir une liste des différentes articles dont vous avez besoin ou envie. Cela vous permettra d’éviter les achats impulsifs que vous regretterez, généralement, le lendemain.
Avant d’aller en ville, faites une recherche sur internet. Suivez les magasins qui vous intéressent sur les réseaux sociaux et gardez-les bien en tête. Vous pouvez aussi vous inscrire à la newsletter. Ils vous tiendront informés des rabais du 26 novembre.
Vous ne voulez pas faire toute la recherche vous-même ? Regardez les sites comme blackfridayexpert.be ou Soldesduck.be Ces sites vous tiendront informés des rabais pour le Black Friday. De plus, ils peuvent vous faire profiter de codes promo pour votre shopping en ligne.
Les magasins proposent des rabais lorsque le jour approche. Dans ces magasins, vous pouvez déjà être sûr de faire des bonnes affaires :
Et bien d’autres encore ! En effet, de plus en plus de commerçants en Belgique décident de prendre part à cet événement dont l’ampleur ne cesse de croître. Alors, quels seront les chiffres de cette édition Black Friday 2021 ?
Vous avez vu un produit et ne rêvez que d’une chose : l’acheter ? Alors n’hésitez surtout pas à comparer le prix de cet article sur les sites des différents revendeurs. Mais il est également possible d’effectuer cela sur un site de comparaison. Il en existe aujourd’hui pour tous les goûts. De la sorte, vous serez certaine de trouver la meilleure offre !
Il existe une multitude de plateformes qui comparent les prix pour chaque magasin. Vous pouvez, par exemple, regarder sur Comparer.be, vous trouverez plus de 56 magasins et des produits de chaque catégorie.
Lorsque vous faites vos achats avec une carte de crédit cashback, vous pouvez économiser de l’argent. Elles vous donnent un certain pourcentage sur vos achats en ligne ou en magasin.
Vous avez fait tous vos achats ? Veillez à conserver vos reçus. Il se peut qu’en rentrant chez vous, vous ne soyez plus entièrement satisfait de vos acquisitions, ou que les cadeaux et vêtements achetés ne soient pas entièrement à votre goût. En bref : vous avez changé d’avis. Avec le ticket de caisse, il est possible de se faire rembourser son achat ou de choisir autre chose. Faites attention ! Le remboursement et l’échange sont souvent assortis de conditions.
Vous pensez que votre carte de crédit n’est pas la bonne pour vous ? Utilisez notre outil de comparaison pour trouver celle qui vous convient le mieux.
The post Black Friday 2021 : 5 conseils pour mieux faire votre shopping appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>The post Quelles sont les cartes de crédit gratuites ? appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>Depuis quelques années, les institutions bancaires subissent une concurrence de plus en plus effrénée suite à l’arrivée sur le marché de nouveaux acteurs. Pour se diversifier, elles ont donc adapté leur offre de services, et le prix en subit les conséquences. Les formules bancaires comprennent en général les cartes de débit. Par contre, les cartes de crédit sont souvent un petit plus dont il faut tenir compte dans son budget. À moins d’opter pour une des onze cartes gratuites proposées sur le marché belge.
Si la perspective de changer d’institution bancaire n’est pas un frein, vous avez l’embarras du choix. Il est dès lors important de s’ouvrir à d’autres options. En effet, de nombreuses personnes restent fidèles à leur compte bancaire. Pourtant, les besoins de chacun changent au fil du temps, tout comme l’offre des différentes banques. Pourquoi payer pour un service que vous n’utilisez pas ? Grâce aux comparateurs financiers en ligne gratuits tels que TopCompare, vous pouvez facilement voir si votre compte vous convient. Ou si vous pouvez trouver mieux et moins cher ailleurs. Grâce à la mobilité interbancaire en vigueur depuis le 1er février 2018, vous ne devez plus vous charger de rien. En effet, votre nouvelle banque s’occupera gratuitement du transfert et de la clôture de votre ancien compte ».
Vous êtes satisfait de votre banque et ne souhaitez pas ouvrir de compte ailleurs? Vous pouvez tout de même profiter d’une carte bancaire gratuite. Le choix sera un peu plus limité. La carte de crédit sera liée à votre compte à vue actuel, indépendamment de l’institution bancaire dans laquelle il a été souscrit.
Souscrire à une carte de crédit gratuite permet donc de faire quelques économies. Néanmoins, il convient de surveiller les coûts complémentaires en fonction de vos habitudes et de votre style de vie. Certaines cartes de crédit, pour la plupart payantes, comportent des assurances très intéressantes. Si vous partez régulièrement en vacances par exemple, il vous reviendra généralement moins cher de profiter de l’assurance de votre carte de crédit payante plutôt qu’en souscrire une autre à côté. Pour faire des économies, la meilleure méthode consiste dès lors à faire une liste de ses besoins. Cela vous permettra d’évaluer exactement les services pour lesquels vous êtes prêts à payer. Pour le reste, il n’y a pas de solution miracle : il faut comparer, comparer, comparer.
The post Quelles sont les cartes de crédit gratuites ? appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>The post Épargnez plus de 115.000€ en démarrant votre épargne à temps appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>De nombreux jeunes attendent souvent trop longtemps avant de commencer à épargner pour leurs vieux jours. Et pourtant, commencer un produit d’épargne plus tôt peut réellement faire la différence.
Plus vous commencez à épargner tôt, plus vous ferez fructifier votre argent. Les jeunes ont déjà entendu ce conseil à maintes reprises. Pourtant, nous avons remarqué que nombre d’entre eux ne possèdent pas de produit d’épargne à leur nom. Cela est d’autant plus étonnant qu’il est déjà possible de commencer une épargne-pension à partir de 18 ans.
« Les jeunes qui attendent trop longtemps pour commencer perdent pas mal de revenus », note Quentin Denis, CEO de la plateforme de comparaison financière belge gratuite TopCompare. « Grâce notamment à l’effet boule de neige, le rendement final peut être substantiel. » Actuellement, vous pouvez épargner jusqu’à 990 ou 1.270€ en bénéficiant d’une réduction fiscale. Selon le montant plafond choisi, l’avantage fiscal s’élève à 30 % (jusqu’à 990€) ou 25 % (jusqu’à 1.270€).
En ce qui concerne l’épargne, on distingue deux produits différents: les assurances épargne-pension et les fonds d’épargne-pension. L’assurance épargne-pension est un produit plus sûr puisque le capital est protégé jusqu’à 100.000€. Ce n’est pas le cas pour un fonds d’épargne-pension, mais leurs rendements sont souvent plus élevés que ceux d’une assurance épargne-pension.
« Pour les jeunes, il est généralement plus intéressant de choisir un fonds d’épargne-pension. En fonction du profil des jeunes, la composition du fonds est adaptée. Les profils défensifs, par exemple, ne sont pas exposés à un fonds qui investit dans un grand nombre d’actions », précise Quentin Denis. En outre, les épargnants qui commencent à investir suffisamment tôt peuvent se remettre plus facilement d’une éventuelle correction boursière. Un bon conseil : privilégiez plutôt les investissements mensuels plutôt qu’annuels. En effet, en investissant chaque mois un petit montant, vous prenez moins de risques d’être au mauvais moment (lorsque les marchés boursiers se portent très bien et que les prix sont élevés), et vous répartissez ainsi les risques dans le temps.
En 2020, les fonds d’épargne-pension ont rapporté en moyenne 1,90 % l’année dernière. C’est relativement faible si on le compare aux rendements annualisés de la dernière décennie dont la moyenne est de 5,07 %. Nous avons effectué un calcul basé sur les performances des fonds d’épargne-pension ces dernières années pour montrer l’importance de commencer suffisamment tôt avec l’épargne-pension. Notre calcul est basé sur une personne qui économise 82,50€ par mois, soit 990€ par an.
Une personne qui commence à épargner à 20 ans et qui retire son capital à 60 ans (le jour où le capital est mis à disposition dans le fonds d’épargne-pension) aura épargné quelque 124.213€ après 40 ans, avec un rendement moyen de 5,07 %. Vous devez payer une taxe finale de 8 % sur ces revenus. Pour les fonds d’épargne-pension, cela est calculé sur la base d’un rendement fictif de 4,75 %. Dans ce cas, vous payerez donc une taxe finale de 9.177€. En d’autres termes, vous posséderez donc un solde net de 115.036€.
Une personne qui commence à épargner 10 ans plus tard aura épargné 67.971€ bruts à ses 60 ans. Il reste donc une somme nette de 62.832€, soit 52.204€ de moins que si vous aviez commencé à épargner dix ans plus tôt. Si vous commencez à épargner pour votre retraite à 40 ans, vous économiserez un total net de 31.072€.
En retardant le début de votre épargne de 20 ans, vous aurez donc 83.964€ de moins sur votre compte d’épargne-pension.
« Par ailleurs, il ne faut pas oublier que l’épargnant bénéficie chaque année d’une réduction d’impôt », fait remarquer Quentin Denis. Pour les versements annuels qui ne dépassent pas 990€, une réduction fiscale de 30 % est appliquée. Cela équivaut à 297€. Si vous commencez à épargner à 20 ans, vous aurez bénéficié de cet avantage 41 fois à vos 60 ans. Cela représente un total de 12.177€.
Il est également possible d’économiser entre 990 et 1.270 euros par an. Dans ce cas, vous bénéficiez d’une réduction de 25 %, soit un maximum de 317,50€. Le jour de vos 60 ans, la réduction maximale totale s’élèvera à 13.017€. « La réduction d’impôt de 25 % n’est intéressante que pour les personnes qui économisent au moins 1.190€ par an », souligne Quentin Denis.
The post Épargnez plus de 115.000€ en démarrant votre épargne à temps appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>The post Jusqu’à quel âge peut-on acheter une maison ? appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>Obtenir un prêt n’est pas toujours une chose aisée. La banque doit dans un premier temps examiner soigneusement la demande pour estimer si vous disposez de réserves mensuelles suffisantes pour rembourser l’emprunt durant la durée de celui-ci. Elle tient compte de différents facteurs lors de l’introduction d’une demande. Il s’agit généralement du montant et de la stabilité des revenus, des charges récurrentes et des prêts en cours, de votre âge et votre situation familiale, et de la quotité (soit le rapport entre le montant emprunté et le prix du bien).
Depuis le 1er janvier 2020, il est devenu plus difficile pour les jeunes ménages ne disposant pas encore de beaucoup de capitaux propres de bénéficier d’un crédit hypothécaire. Pourtant, la situation n’est pas plus aisée pour les séniors.
« La loi interdit toute discrimination sur l’âge, mais cela reste un critère déterminant dans la procédure d’octroi de prêts hypothécaires. Chaque prêt est un risque que prend la banque, et malheureusement l’octroyer aux personnes âgées représente une plus grande responsabilité » déclare Quentin Denis, CEO de TopCompare.be. « Les banques craignent en effet le « risque biologique », c’est-à-dire le décès avant le remboursement du prêt. De plus, le montant des pensions est souvent inférieur au salaire pendant une carrière, ce qui ne joue pas en faveur des personnes âgées. »
Dans les faits, il n’y a pas de limite d’âge fixe : chaque banque détermine ses propres conditions d’octroi de crédits hypothécaires. Néanmoins, certaines tendances semblent s’affirmer.
« Si vous souhaitez acheter un bien avec quelqu’un d’autre, n’oubliez surtout pas d’inscrire les deux noms sur le contrat. La plupart des banques tiennent compte de l’âge de l’acquéreur le plus jeune. Vous pourriez ainsi obtenir plus facilement un crédit hypothécaire » conseille Quentin Denis.
The post Jusqu’à quel âge peut-on acheter une maison ? appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>The post Comment épargner ou investir pour vos (petits-)enfants ? appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>Dans notre pays, il existe plusieurs possibilités si vous souhaitez épargner ou investir pour vos enfants. Mais dans la situation actuelle des faibles taux d’intérêt, il n’est pas toujours facile de trouver des formules d’épargne ou d’investissement lucratives. Quelles sont les différentes possibilités ?
Presque toutes les banques privées possèdent une ou plusieurs formules d’épargne adaptées aux besoins des plus jeunes épargnants. L’option la plus connue est le compte épargne jeunes. Toutefois, ces formules d’épargne ont perdu beaucoup de leur éclat au cours de la dernière décennie. Dans le passé, les livrets d’épargne jeunes rapportaient généralement plus que les comptes d’épargne traditionnels. En 2011, vous aviez encore des livrets d’épargne assortis d’un taux d’intérêt pouvant atteindre 3,25 %. Aujourd’hui, le meilleur livret d’épargne jeunes rapporte 0,55 %. C’est 83 % de moins qu’il y a dix ans. De par leur facilité et leur sécurité, les comptes épargne restent toutefois une valeur sûre pour les citoyens belges. Une étude récente de TopCompare démontre par ailleurs que 64% des Belges déposent encore leur argent sur leur compte épargne. Mais existe-t-il des alternatives plus lucratives en Belgique? TopCompare fait le point.
L’assurance-épargne peut apporter une certaine consolation. Ces produits d’épargne ont également perdu du terrain ces dernières années. Cela s’explique par la politique de taux d’intérêt de la Banque centrale européenne (BCE). Néanmoins, ces formules rapportent généralement plus d’argent qu’un compte épargne traditionnel. En 2020, elles avaient un rendement moyen de 1,7%. Comme pour un compte épargne, le capital d’épargne est protégé jusqu’à 100.000 euros grâce au système de garantie des dépôts. L’un des principaux avantages de l’assurance-épargne est que le rendement total se compose d’un taux d’intérêt garanti et d’une éventuelle participation bénéficiaire. Le taux d’intérêt garanti est connu à l’avance, mais il peut être modifié pendant la durée du contrat. Ces changements s’appliquent aux nouveaux dépôts. Ils sont toujours communiqués à l’avance. En revanche, la participation bénéficiaire n’est jamais connue à l’avance et peut varier d’une année à l’autre. En effet, la participation bénéficiaire dépend des performances de l’assureur.
Dans le cadre d’une assurance épargne, vous pouvez désigner votre enfant ou petit-enfant comme bénéficiaire. Il recevra ensuite le capital à la date d’échéance du contrat. La date d’échéance dépend des banques et du produit choisi. Avec Agenia Junior de Beobank, par exemple, vous pouvez choisir de mettre le capital à la disposition du bénéficiaire lorsqu’il atteint l’âge de 18 ou 25 ans. Vous êtes également libre de changer de bénéficiaire à tout moment.
D’autres acteurs proposent une formule dans laquelle l’enfant est à la fois le bénéficiaire, le preneur d’assurance et l’assuré. C’est par exemple le cas des produits d’épargne Yongo d’AG Insurance. Le plus grand avantage d’un tel produit est que toute personne qui fait une contribution est sûre que le capital ira au bénéficiaire. En tant que parent, vous ne pouvez pas changer le bénéficiaire car le contrat est au nom de l’enfant. Grâce aux formules de Yongo, vous avez toujours le contrôle sur un certain nombre d’aspects, comme ce que votre enfant voit ou ne voit pas lorsqu’il utilise la plateforme.
Dans tous les cas, il est important de vérifier auprès de l’assureur les possibilités qui s’offrent à vous lorsque vous souhaitez souscrire une assurance épargne pour votre enfant. Vous éviterez ainsi les mauvaises surprises.
Ceux qui sont prêts à prendre plus de risques peuvent envisager de souscrire une assurance de la branche 23 pour leur progéniture. Contrairement à une assurance de la branche 21, ce produit d’assurance ne consiste pas en un taux d’intérêt garanti et une éventuelle participation bénéficiaire. Les rendements dépendent entièrement des actifs sous-jacents, tels que les actions. Par ailleurs, vos dépôts ne sont pas protégés par le système de garantie des dépôts. À long terme, l’épargne dans le cadre d’une assurance de la branche 23 génère généralement des rendements plus élevés que celle dans le cadre d’une assurance de la branche 21, bien que cela ne soit évidemment pas une garantie.
Comme dans le cas d’une assurance de la branche 21, vous pouvez, chez presque tous les assureurs, désigner votre (petit-)fils ou (petite-)fille comme bénéficiaire afin qu’il ou elle reçoive le capital investi à un certain âge.
Enfin, il existe les plans d’épargne à partir de fonds, dans lesquels vous investissez un montant fixe chaque mois. Dans de nombreuses banques, vous pouvez investir à partir d’un montant modeste, généralement 25 ou 50 euros, pour votre (petit-)enfant. Pour ce faire, il est important que votre banque vous propose un plan d’investissement assorti d’une clause de tiers bénéficiaire. Cela signifie que les actifs vont au bénéficiaire à une date prédéterminée. Ce qui n’est pas sans importance. En tant que client, vous avez la possibilité de révoquer la clause de tiers jusqu’à la date de libération incluse.
Dans la plupart des banques, vous pouvez choisir parmi différents plans d’épargne à partir de fonds. Vous pouvez donc choisir un plan d’épargne qui correspond parfaitement à vos souhaits, allant de formules très défensives à des formules dynamiques qui vous exposent à plus de risques.
Grâce à la clause de tiers bénéficiaire, il est également possible de laisser un compte-titres ou un compte d’épargne à votre progéniture à une date précise. Cela vous permet d’investir dans des actions ou d’autres titres de votre propre initiative, puis de laisser le compte-titres à votre enfant ou petit-enfant, par exemple, le jour de son 18e anniversaire. N’oubliez pas que le bénéficiaire devra payer des droits de succession si vous décédez avant l’expiration de la clause de tiers.
Par exemple, vous pouvez investir dans un kot. Votre (petit-)enfant pourra plus tard y habiter durant toutes ses années d’étude sans que cela ne vous engendre de frais supplémentaires. Vous pouvez également le louer à d’autres étudiants lorsque votre (petit-)enfant ne l’utilise pas. De plus, vous pouvez mettre le revenu supplémentaire de côté pour en donner une partie à votre progéniture plus tard.
Vous pouvez également investir immédiatement dans un projet immobilier, tel qu’un appartement ou une maison. Comme dans le cas d’un kot, vous pouvez louer le bâtiment en prévision du moment où votre enfant voudra vivre seul. Vous pouvez également utiliser le revenu locatif pour ouvrir un compte d’épargne pour votre progéniture. N’oubliez pas que des investissements similaires impliquent de nombreux coûts, tels que les droits d’enregistrement, la taxe foncière annuelle, etc.
Enfin, si vous souhaitez éviter l’embarras des frais de succession ou de donation dans le futur, vous pouvez désigner vos (petits-)enfants comme étant les nu-propriétaires de votre bien immobilier. En tant qu’usufruitier, vous pourrez occuper le bien jusqu’à votre décès. Il reviendra ensuite automatiquement à votre descendance sans engendrer de frais supplémentaires. Cette décision se fait en général avant l’achat et doit être actée par un notaire. Il est néanmoins possible de faire une donation de la nue-propriété après l’achat, mais cela implique des frais de donation.
The post Comment épargner ou investir pour vos (petits-)enfants ? appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>The post Voici les grandes tendances d’épargne des Belges appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>Restaurants fermés, évènements culturels postposés, voyages non-essentiels déconseillés, les dépenses liées aux loisirs ont fortement chuté depuis mars 2020. Il est indéniablement que la crise du coronavirus a grandement impacté l’épargne des Belges. Selon les chiffres de la Banque Nationale de Belgique, le taux d’épargne des Belges a gonflé dans des proportions inédites en 2020, passant de 13% du revenu disponible en 2019 à près de 21% en moyenne en 2020. À titre de comparaison, le taux d’épargne avait connu un pic à 18% durant la crise économique de 2008. Afin de mieux comprendre les tendances d’épargne des Belges, la plateforme de comparaison financière belge gratuite TopCompare.be a réalisé une étude en collaboration avec la société indépendante d’études Profacts auprès de 1.001 Belges en mars 2021.
Au niveau national, plus de 80% des Belges déclarent épargner une partie de leur salaire. Ils restent néanmoins dépensiers, puisque près de la moitié épargnent moins d’un dixième de leur salaire. Ainsi, 23% des Belges consacrent entre 1 et 5% de leur salaire à l’épargne. Ce nombre continue à diminuer lorsque la proportion de salaire consacrée à l’épargne augmente. Ainsi, 20% des Belges épargnent 6 à 10%, 14% épargnent 11 à 20% et 10% épargnent 21 à 30%. Seuls 5% des Belges épargnent plus de la moitié de leur salaire. Au niveau linguistique, le pourcentage des revenus consacrés à l’épargne est relativement similaire. Une différence notoire est tout de même à signaler : seuls 18% des néerlandophones ne consacrent qu’entre 1 à 5% de leur salaire à l’épargne, pour 30% des francophones. Les 12% de différence sont répartis dans les tranches supérieures.
Les Belges sont prévoyants : un belge sur deux épargne afin d’avoir un fond d’urgence en cas de dépenses imprévues. 42% épargnent pour des projets futurs (voyages, voiture, mariage, rénovation, etc), 32% pour la pension, 23% pour les enfants. 17% pour s’acheter un bien immobilier, 11% pour (se) faire un beau cadeau, et 3% pour aider un proche. Les néerlandophones semblent regarder plus loin dans l’avenir que les francophones : presque la moitié des Flamands épargnent pour un projet futur (47%, pour 36% des Wallons) et 37% épargnent déjà pour leur pension (pour 25% des Wallons).
Malgré les taux d’intérêt historiquement bas des comptes épargnes, plus de la moitié des Belges (64%) y déposent leur argent. Cette tendance est plus accentuée au Nord du pays (69%) qu’au Sud (57%). Un quart des Belges investissent dans une épargne pension (28%), une pratique à nouveau plus populaire du côté flamand (35%) que wallon (19%). 23% des Belges font des investissements, surtout du côté masculin (28%, pour 17% des femmes). 17% placent leur épargne sur le compte épargne d’une autre banque et 12% le laissent sur leur compte courant.
Pour Quentin Denis, CEO de TopCompare, il est essentiel de mettre en avant les différentes solutions d’épargne aux habitants de notre plat pays. « 64% des Belges continuent à mettre leur argent sur le compte épargne de leur banque. Pourtant, le rendement de la plupart des banques traditionnelles est actuellement inférieur à l’inflation. Il est dès lors plus intéressant de se tourner vers certaines banques niches qui proposent des taux plus attractifs. Autrement, pour les amateurs de risque ou de plus grand rendement, il existe de multiples alternatives: assurance-épargne, branche 23, investissements dans des fonds ou dans l’immobilier, etc . Comparer les différentes formules permet de trouver celle qui vous convient le mieux pour vous rapporter le plus »
Au niveau des secteurs d’investissement privilégiés par les Belges, l’immobilier gagne la première place avec 16%. Les citoyens semblent accorder une importance toute particulière à l’écologie et à l’éthique puisqu’on retrouve ensuite le secteur des énergies renouvelables ainsi que celui des fonds durables et/ou éthiques (13%). Le secteur de la santé & de la pharmacie vient compléter le podium, également à la deuxième place. Par la suite, on retrouve le secteur des finances & assurances et des nouvelles technologies et informatiques (12%), les cryptomonnaies et le secteur agro-alimentaire (4%), et enfin le secteur des projets sociaux et culturels, des médias, réseaux sociaux & marketing ainsi que du transport.
Pour choisir leur plan d’épargne, un tiers des Belges (33%) se fient aux conseils de leur banquier. Si 17% font leurs propres recherches sur internet et 10% suivent l’actualité, cela concerne surtout les hommes (22% et 15%, pour respectivement 11% et 6% des femmes). 9% demandent conseils à leur famille, 6% à leurs amis et connaissances. Seuls 5% vont voir sur une plateforme de comparaison.
The post Voici les grandes tendances d’épargne des Belges appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>The post Est-il encore intéressant de contracter un prêt immobilier à taux d’intérêt variable ? appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>Toute personne qui contracte un prêt immobilier aujourd’hui bénéficie encore de conditions très favorables. Grâce à la situation actuelle des taux d’intérêt, vous payez, par exemple, beaucoup moins pour un prêt immobilier qu’il y a dix ans. Mais est-ce une bonne idée de choisir aveuglément un taux d’intérêt fixe ?
Étant donné que de nombreuses banques offrent désormais des taux très compétitifs pour un prêt immobilier, les emprunteurs ont tendance à bloquer le taux d’intérêt pour toute la durée du contrat en choisissant un taux d’intérêt fixe. Quelle que soit l’évolution du taux d’intérêt, le montant du remboursement reste inchangé. Vous êtes donc couvert en cas d’augmentation future des taux d’intérêt.
Les personnes qui se rendent dans différentes banques constateront que certains prêteurs suggèrent également d’envisager des options à taux variable. Contrairement à un taux fixe, le taux, et donc les remboursements, changent en fonction de l’évolution des taux d’intérêt. Cela peut être à votre avantage ou à votre désavantage. Si le taux d’intérêt baisse, vous paierez donc moins d’intérêts à la banque. Si le contraire se passe, vous en paierez plus. Dans la situation actuelle où les banques appliquent des taux très bas, beaucoup de personnes préfèrent opter pour un taux d’intérêt fixe.
Dans certaines situations, considérer un taux variable peut s’avérer être une bonne idée. Mais comment déterminer si un taux d’intérêt variable est un bon choix ou non ? Pour commencer, il est important de se renseigner sur le pourcentage du taux d’intérêt au début du prêt. Un taux d’intérêt variable sera (dans la situation actuelle) généralement inférieur au taux d’intérêt fixe. Mais ce qui est essentiel, c’est la mesure dans laquelle le taux d’intérêt peut augmenter.
Dans notre pays, les banques sont tenues par la loi de respecter un certain nombre de règles. Tout d’abord, le taux d’intérêt peut au maximum doubler pendant toute la durée du contrat hypothécaire. Par exemple, si vous obtenez un taux d’intérêt de 0,8 %, il pourra atteindre un maximum de 1,6 %. C’est pourquoi il est toujours intéressant de doubler le taux proposé par soi-même. Ainsi, vous connaîtrez immédiatement le montant maximal que vous devrez payer pour votre prêt.
Une fois que vous avez calculé l’augmentation maximale du taux d’intérêt, vous pouvez la comparer au taux fixe. Si le taux doublé est proche du taux fixe, il peut encore être avantageux d’opter pour un taux variable. Les taux d’intérêt du marché doivent énormément augmenter pour justifier un doublement des taux d’intérêt pour un prêt hypothécaire.
En outre, les banques ne sont pas autorisées à modifier le taux à leur guise. En effet, les variations de taux sont plafonnées pendant les premières années du contrat de crédit. La deuxième année, le taux d’intérêt ne peut être supérieur de plus de 1 % à celui de la première année. Lors de la troisième année, ce chiffre passe à 2 %.
Les banques n’ont aucun champ libre pour déterminer dans quelle mesure les taux d’intérêt peuvent augmenter. Elles sont légalement tenues de baser les ajustements des taux d’intérêt sur l’indice dit de référence publié mensuellement par le SPF Économie[1]. Par exemple, pour un prêt dont le taux d’intérêt est ajusté annuellement, la banque considérera l’indice A. Pour un ajustement tous les 2 ans, il s’agira de l’indice B. Il existe des index jusqu’à la lettre J (donc avec un ajustement de 10 ans).
En outre, les banques sont tenues de stipuler contractuellement à quel moment le taux d’intérêt peut être révisé et l’augmentation maximale par révision. Lorsque vous contractez un prêt à taux variable, vous êtes donc confronté à différentes formules. Celles-ci vont de 1/1/1 (ajustement possible annuellement) à 10/5/5 (un premier ajustement est possible après 10 ans, puis tous les 5 ans). Vous ne serez donc jamais confronté à de mauvaises surprises. L’augmentation maximale par révision est également incluse dans le contrat. C’est ce qu’on appelle le « plafond ».
Pour Quentin Denis, CEO de la plateforme de comparaison financière gratuite TopCompare, il est essentiel de demander une simulation des différentes formules à son banquier. “Contracter un crédit hypothécaire n’est pas une décision que l’on prend à la légère. C’est un projet de vie assez onéreux qui exigera un remboursement mensuel pendant de nombreuses années. C’est pour cela qu’il est essentiel de comparer non seulement les taux proposés par les banques présentes en Belgique, mais également le type de taux afin de trouver le meilleur arrangement possible. Si vous décidez d’opter pour un taux variable, n’oubliez pas que votre banque peut calculer rapidement l’impact d’une éventuelle hausse des taux d’intérêt sur vos remboursements mensuels. Ainsi, vous pourrez prendre une décision en connaissance de cause.”
Pour de nombreuses personnes, un prêt hypothécaire à taux fixe reste la meilleure solution au vu des taux d’intérêt actuellement très faibles. Mais dans certains cas, vous pouvez faire des économies en optant pour un taux variable. Il faut pour cela que la différence entre le taux d’intérêt variable et le taux d’intérêt fixe soit suffisamment importante pour compenser une éventuelle hausse des intérêts.
[1] https://economie.fgov.be/fr/themes/services-financiers/credit-hypothecaire/indices-de-reference-pour-les
The post Est-il encore intéressant de contracter un prêt immobilier à taux d’intérêt variable ? appeared first on Blog et conseils financiers.
]]>