Bébé est en route ou votre famille s’agrandit avec l’arrivée d’un petit frère ou d’une petite sœur ? Félicitations ! Vous vous demandez comment vous pourrez protéger ce petit être qui dépend entièrement de vous ? Heureusement les assurances sont là pour vous aider à préparer l’arrivée de bébé en toute sérénité.

Soins médicaux

Quand on pense protection, on pense tout d’abord à une couverture médicale. En planifiant une grossesse, en plus de votre mutualité de base, vous pouvez souscrire à une assurance médicale complémentaire qui prendra en charge l’excédent des soins de maman et de bébé lors de l’accouchement et pendant le séjour à la maternité.

Quand votre enfant naîtra, vous pourrez en faire de même pour lui. Cela vous permettra de lui fournir les meilleurs soins et de focaliser votre énergie sur lui, sans vous inquiéter de pouvoir couvrir les frais engendrés.

La maison et la famille

Pensez également à choisir une protection adaptée pour votre foyer. Accueillir un bébé bouleverse le quotidien ; vous pourriez facilement oublier d’éteindre la cuisinière ou de fermer le robinet en sortant. Un tel accident serait dramatique, mais une bonne assurance vous permettrait de vous en sortir rapidement et à moindre coût. Il existe également des assurances familiales qui vous couvrent dans le cas où votre enfant (ou un membre de votre famille) causerait un dégât matériel ou physique à un tiers.

Les voyages

Bien que les vacances ne soient pas votre priorité après l’arrivée de bébé, vous serez ravi(e) de faire une pause en famille et de faire découvrir le monde à votre enfant. Avant tout déplacement à l’étranger, vérifiez dans quelle mesure vous êtes couvert(e) contre les imprévus et prenez les dispositions nécessaires avant le départ (assurance annulation, accident de voyage, assistance, etc.). Il n’est pas forcément nécessaire de souscrire à une assurance voyage séparée : certaines cartes de crédit (souvent libellées « Gold » ou « Platinum ») l’incluent sous conditions.

Et si vous n’étiez plus là ?

Reste à envisager la perspective la moins agréable alors qu’on vient d’accueillir un enfant. Dans la tragique situation où vous et/ou votre partenaire veniez à disparaître, qu’adviendrait-il de votre bébé ?

La première décision à prendre est : qui s’occupera de lui ? Parents, frère/sœur, amis ? Définissez clairement à qui vous souhaitez le confier et obtenez la confirmation des personnes concernées ; faites ensuite les démarches légales nécessaires de manière à ce que votre choix ne soit pas contestable en votre absence.

Il s’agira ensuite de ne pas laisser de dettes à votre enfant et de prévoir son avenir financier, au moins pour les quelques années suivant votre disparition. Il y a plusieurs aspects à prendre en compte :

• Qui prendra en charge certains frais comme les frais d’obsèques ou les droits de succession ? Différentes formules d’assurances décès existent. Elles peuvent notamment prévoir le versement, en cas de décès, d’une somme d’argent définie à l’avance pouvant servir à couvrir les frais rencontrés.
• Qui remboursera votre crédit hypothécaire s’il court toujours ? Les banques belges exigent que vous contractiez une assurance solde restant dû liée à votre crédit hypothécaire, ce qui met vos successeurs à l’abri d’une dette importante. En cas de décès, cette protection rembourse le solde impayé de votre emprunt.
• Qu’en sera-t-il de vos autres emprunts ? Des assurances solde restant dû existent également pour les autres types de prêts (personnel, auto, rénovation, etc.), mais ne sont pas exigées. Si vous avez plusieurs crédits en cours avec des montants conséquents, il serait judicieux de vous en servir pour les couvrir.

Préparer l’arrivée de bébé : et maintenant ?

Soyez préparé(e) au pire, mais espérez le meilleur ! Évaluez dès à présent les assurances  dont vous avez besoin et vous assurer que votre enfant sera protégé à la hauteur de vos attente et préparer l’arrivée de bébé comme il se doit.

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Nous effectuons des achats chaque jour et sommes, par conséquent, constamment confrontés au transfert d’argent. Qu’il s’agisse d’un simple paiement entre amis pour régler un verre, ou un transfert d’argent pour payer le loyer, l’achat d’un nouveau meuble, les courses de nourriture, un paiement au restaurant, rembourser un ami qui effectué les paiements de la soirée pour tout le monde, … Oui, les paiements régissent notre quotidien. Mais concrètement, quelles sont les options en termes de transfert d’argent ?

La technologie rend les transferts d’argent de plus en plus facile, réduisant ainsi le poids de notre portefeuille. En effet, plus besoin de se trimbaler avec de nombreux billets et pièces de monnaie. L’utilisation de la carte de crédit, de banque ou plus facilement de son téléphone rend les paiements tellement plus rapide.

Grâce à cette infographie, vous connaissez dès à présent les différentes possibilités de transfert d’argent. Ainsi, en cas de manque de liquidités, vous saurez quoi faire. Il n’a jamais été aussi simple de rembourser un ami après un dîner, d’acheter une bonne baguette à la boulangerie du coin, ou de sortir votre carte pour vous faire plaisir ! En revanche, si vous ne possédez pas encore de carte de crédit ou souhaitez changer, n’hésitez pas à utiliser notre comparateur en ligne. Vous aurez ainsi un aperçu clair de toutes les offres sur le marché belge.

Cet article a été écrit en collaboration avec ING.

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Vous êtes sur le point d’acquérir une voiture neuve, mais vous n’êtes pas encore sûr de la manière dont vous allez financer votre achat auto ? On vous explique ici les différentes pistes et les pièges à éviter !

Options de financement d’une voiture neuve

Lors d’un achat auto, comment choisir entre utiliser ses économies et faire un emprunt ? Quels sont les différents types de crédits qui existent ? Un prêt est-il plus intéressant auprès d’une banque ou d’un concessionnaire ? Voici quelques pistes de réflexion.

• Cela fait déjà un bout de temps que les taux d’intérêt sont bas. Beaucoup optent alors pour un crédit lors d’un achat auto. Mais des taux d’intérêts bas impliquent aussi que vos économies ne vous rapportent plus grand’ chose. Le choix entre le financement par emprunt ou par fonds propres dépendra donc surtout de votre situation financière et de vos envies.

• Le prêt auto classique est très populaire en raison de ses taux attractifs par rapport à un prêt à tempérament non affecté. Son fonctionnement est similaire : après acceptation de votre dossier par la banque (qui inclut une preuve d’achat du véhicule), vous recevrez les fonds et devrez rembourser par mensualités fixes et égales (qui comprennent les intérêts et le capital) sur toute la durée de l’emprunt. Certaines banques vous proposent également de pouvoir emprunter plus de 100% de la valeur d’achat pour couvrir les frais d’assurance, de taxes de mise en circulation, etc. A noter que les voitures écologiques peuvent bénéficier de tarifs avantageux, tant au niveau des crédits que des assurances et de la taxation.

• Un autre type de prêt qui a gagné en notoriété ces dernières années est le crédit ballon. Il permet d’alléger les mensualités : seule une partie du capital est remboursée pendant la durée du prêt, et le reste lors de la dernière mensualité dite « ballon ». La proportion à rembourser à l’échéance varie en fonction de la durée mais est en général de maximum 50%. Bien entendu, les intérêts courent toujours sur les montants non encore remboursés. Bien que ce prêt vous permette de mieux gérer votre budget mensuel, il faut être sûr de pouvoir repayer la partie du capital restante à la fin. On peut sinon se retrouver en défaut de paiement.

• Certains concessionnaires proposent également des crédits pour un achat auto. Ils sont d’ailleurs réputés pour vous proposer des taux plus bas que ceux des banques, voire des taux à 0%. Mais est-ce vraiment la solution la plus intéressante ? Lisez plus loin pour en savoir plus.

Prêt auto 0% : de quoi s’agit-il ?

Certains concessionnaires proposent des taux très faibles pour un achat auto, allant parfois jusqu’à 0%. Ce mode de financement semble à première vue intéressant, étant donné que vous n’auriez que le capital à rembourser, et pas d’intérêts supplémentaires à payer. Mais est-ce vraiment le cas ? N’oubliez jamais qu’emprunter de l’argent coûte de l’argent, même quand on croit avoir affaire à un « financement gratuit ». Nous explorons ici pour vous les coûts « cachés » qui peuvent être associés à un prêt 0%.

• Tout d’abord, il n’existe pas de crédit gratuit. Les intérêts que vous ne paierez pas sur ce prêt seront pris en charge par le concessionnaire. Il s’agit donc d’un geste commercial.
• Puisque le concessionnaire prend le coût des intérêts en charge, il va souvent limiter la durée sur laquelle le crédit peut être contracté, de manière à limiter ce coût. Sur une durée plus courte, vos mensualités peuvent alors devenir exorbitantes.
• Le geste commercial sur le taux du prêt veut aussi dire que le concessionnaire ne vous fera pas de cadeaux supplémentaires sur la voiture :
  • Il ne vous donnera pas ou que peu de remises sur le véhicule. Pourtant les réductions que vous pouvez espérer sur une voiture neuve peuvent vite dépasser les intérêts que vous économiseriez sur un prêt voiture à court terme. Cela vaut-il alors vraiment la peine de s’en passer ?
  • Par ailleurs, si vous souhaitez revendre votre vieille voiture pour financer en partie la nouvelle, assurez-vous que sa valeur ne soit pas sous-estimée. Il s’agit d’un autre procédé connu chez les concessionnaires afin de compenser l’avantage donné sur l’emprunt. Encore une fois, calculez bien si ce que vous perdez sur la reprise de votre vieille voiture compense bien les intérêts que vous économisez sur l’emprunt.
• Ouverture d’une ligne de crédit : même si les intérêts ne sont pas à votre charge, le prêt voiture 0% implique l’ouverture d’une ligne de crédit. Il sera donc inscrit dans les registres de la Centrale des Crédits aux Particuliers, ce qui pourrait affecter vos chances d’obtenir un autre emprunt. Il n’y a donc aucun avantage à ce niveau par rapport à un crédit auto classique.
• Enfin, pour vous accorder un prêt 0%, le concessionnaire vous demandera un acompte conséquent. Vous devrez donc avoir cette somme à disposition et accepter de vous en passer pour bénéficier de ce type d’emprunt.

Contrairement à ce qu’on pourrait croire, un prêt auto 0% n’est donc pas sans frais. Ne vous fiez pas aux apparences et calculez bien vos gains potentiels et vos manques à gagner avant de choisir votre mode de financement.

Cet article a été écrit en collaboration avec ING.

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En tant qu’étudiant, il est important de savoir gérer son budget et ses finances en général, bien que cela soit loin d’être facile. Apprendre à gérer son budget fait partie du processus d’indépendance. Qu’il s’agissent des dépenses de la vie quotidiennes, les factures d’eau et d’électricité, les achats scolaires, un potentiel kot ou encore une voiture. Vous devez prendre en compte toutes ces dépenses ainsi que vos différentes rentrées. Avez-vous un job étudiant ? Recevez-vous de l’argent de vos parents ? Bénéficiez-vous d’une bourse ? Autant de question à étudier. Mais TopCompare.be vous aide à gérer votre budget.

Gérer son budget

Vous devez bien vous préparer financièrement pour cette nouvelle année scolaire. Vous devez prévoir un budget pour votre minerval et le matériel des cours (syllabi, matériel de bureau, etc.), sans oublier vos dépenses quotidiennes pour vos repas, votre loyer (si vie en kot), vos sorties, etc. Pour vous aider dans cette tâche, de nombreuses applications mobiles existent pour gérer, planifier et analyser vos dépenses. Vous pouvez y installer des alertes, profiter des astuces mises à votre disposition et exporter ces données dans un fichier Excel par exemple. Certaines banques proposent également cette fonction d’analyse sur leur application mobile.

Garder le contrôle

Afin d’économiser de l’argent, ou du moins de contrôler vos dépenses et, ainsi, éviter les achats superflus, voici quelques astuces :

• Chinez, que ce soit sur les sites d’occasion ou dans les petites boutiques toutes charmantes. Vous y trouverez de super affaires, allant des chaussures aux meubles en passant par les fournitures scolaires.
• Profitez des offres étudiants. Et oui, le fait d’être étudiant vous procure un certain avantage, et non pas des moindres. Nombreux sont les commerces qui offrent une réduction sur présentation de votre carte d’étudiant. Veillez donc bien à toujours l’avoir sur vous.
• Préparez vos repas afin d’éviter d’aller acheter un sandwich ou sortir au restaurant trop souvent. Votre portefeuille ne s’en portera que mieux.
• Vous n’habitez pas trop du campus ? Alors vous mettre au vélo vous fera le plus grand bien. C’est bon pour la santé et, de la sorte, vous n’aurez pas besoin de payer les transports en commun, qui peuvent s’avérer cher.

Un compte jeune ou en ligne gratuit ?

Pour que vous puissiez effectuer tous vos paiements, vous devez bien sûr avoir un compte en banque. Vous avez certainement déjà entendu parler des comptes étudiants/jeunes ? Mais sont-ils vraiment les plus intéressants pour vous ? Pour pouvoir bénéficier du compte étudiant gratuit, vous devez être inscrit dans un établissement scolaire supérieur, tandis que pour le compte jeune, vous devez avoir moins d’un certain âge.

Une alternative à ces comptes est le compte en ligne gratuit qu’offrent certaines banques et dont les conditions ne dépendent pas de votre statut ni de votre âge. Vous pourrez donc continuer à les utiliser sans rien changer après votre vie d’étudiant.

Quelle carte de payement choisir ?

Pour choisir la carte adaptée à votre profil, il faut d’abord bien comprendre les différences entre chaque type de carte.
La carte de débit est liée à un compte courant. Lors de vos achats, le montant sera immédiatement débité de votre compte. Cette carte est conseillée pour les simples opérations bancaires telles qu’un paiement, un retrait ou un virement, pour les étudiants qui font leurs études en Belgique et dans la zone euro. En liant cette carte de débit à votre compte jeune/étudiant, vous bénéficiez de formules avantageuses, voire gratuites. Les comptes en ligne gratuits offrent quant à eux la plupart de ces services gratuitement.

La carte de crédit est liée à une ligne de crédit. Vous achetez maintenant, mais payez vos achats à la fin d’une période (souvent 1 mois) sans frais supplémentaires. Elle peut également vous donner la possibilité d’échelonner vos paiements (moyennant des intérêts). Cette carte est adaptée aux étudiants qui font leurs études en Belgique, mais aussi et surtout pour ceux qui étudient en dehors de la zone euro. La carte de crédit offre une facilité de paiement dans le monde entier ainsi que sur internet. La plupart d’entre elles incluent une assurance achats ainsi qu’une assurance contre la perte ou le vol. Elles peuvent par ailleurs aussi offrir de nombreux autres avantages tels que du cashback sur vos achats (en magasin ou en ligne), des points, des miles, etc.

La carte prepaid, aussi appelée carte prépayée, est une carte rechargeable qui vous permet uniquement de dépenser le montant que vous y aurez chargé au préalable. Elle offre les mêmes facilités de paiement qu’une carte de crédit (en magasin, en ligne, à l’étranger, etc.). Cette carte n’est pas forcément liée à un compte courant, elle peut être non-nominative et n’exige pas de contrôle de solvabilité. L’avantage est que vous bénéficiez d’une facilité de paiement, sans pouvoir basculer dans le rouge ou devoir rembourser quoi que ce soit. C’est une carte très utile pour tout étudiant, puisqu’elle permet de gérer son budget d’une façon simple.

Et après ?

Qu’adviendra-t-il de vos comptes et cartes après vos études ? Si vous aviez choisi un compte étudiant, vous ne bénéficierez plus de ses formules gratuites. Par contre, sachez que la plupart des comptes jeunes offrent un tarif avantageux jusqu’à parfois 29ans ; ils seront ensuite automatiquement transformés en comptes à vue traditionnels, qui incluent de nouveaux frais. Cela pourrait être le bon moment pour vous de choisir un compte et des cartes plus adaptées à votre nouvelle situation financière.

Si vous aviez par contre opté pour un compte en ligne gratuit dès le départ, rien ne change ! Vous pourrez profiter d’un peu de stabilité dans vos affaires bancaires pendant cette transition de votre vie.

Ensuite, afin d’avoir plus d’informations sur le coût de la vie (2016) pour un étudiant en Belgique, n’hésitez pas à jeter un oeil à notre infographie ci-dessous, qui détaille pour les dépenses mensuelles des jeunes.

Cet article a été écrit en collaboration avec ING.

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Envisagez-vous d’agrandir la famille prochainement ? Ou bébé est-il déjà en route ? Découvrez ici les conseils pour vous aider à anticiper les aspects pratiques de cet heureux événement et pouvoir profiter du reste avec sérénité.

L’espace de bébé

Bébé arrive et il aura très vite besoin d’un espace à lui ainsi qu’un espace pour entreposer ses nombreux accessoires. Votre logement actuel est-il adapté ou devrez-vous envisager de déménager vers un espace plus grand ? Pourquoi ne pas agrandir ou réaménager votre maison si vous en êtes propriétaire ? Les rénovations pourraient être financées en restructurant votre crédit hypothécaire existant (en réempruntant une partie de ce que vous avez déjà remboursé pour financer les travaux) ou en contractant un prêt rénovation.

Il faudra également prévoir un budget pour aménager et décorer la chambre de bébé. Selon le montant que vous pourrez y allouer, vous pourrez choisir de recycler de vieux meubles chinés en brocante ou achetés via les sites internet d’achat/vente d’occasion ou de commander une chambre flambant neuve, sans oublier les accessoires comme la literie.

Ce budget ne doit pas forcément venir grever vos économies. Il est possible d’envisager certaines formules de financement, adaptées à vos besoins.

Les déplacements de bébé

La sécurité de votre enfant lors des transports n’est pas un poste à prendre à la légère. Lors des déplacements à pied, en voiture ou en transports publics, vous pourrez utiliser une écharpe de portage, un Maxi-Cosy ou une poussette. Que vous utilisiez du matériel neuf ou d’occasion, assurez-vous qu’il ne soit pas obsolète, et qu’il respecte les normes en vigueur dans l’Union Européenne. Même constat que pour l’aménagement de la chambre : vous devrez anticiper et estimer le budget dont vous aurez besoin.

Qu’en est-il de votre véhicule ? Si votre voiture nécessite des réparations et/ou n’est pas suffisamment spacieuse et que vous devez en acquérir une nouvelle, sans engager vos liquidités, pensez au crédit auto (pour autant que votre situation financière soit saine et stable).

Votre budget mensuel

Après le congé maternité/paternité, il faudra organiser la garde de votre enfant, ce qui aura un coût. Si un des deux parents reste à la maison, cela représentera un salaire en moins pour le ménage. Une nounou ou une crèche requiert le paiement d’une pension. Ces frais mensuels sont à prendre en compte dans le calcul de votre budget ainsi que dans vos décisions financières concernant d’éventuels crédits (rénovation, hypothécaire, auto, etc.) car ils impacteront directement votre capacité de remboursement et devront être intégrés dans vos calculs.

Bébé arrive : et maintenant ?

Vous avez à présent quelques pistes pour mieux préparer les aspects pratiques de l’arrivée de bébé. Plus tôt vous réglerez ces points, plus vous pourrez vous concentrer sur l’essentiel : la rencontre avec votre enfant. Ces premiers moments ne seront trop vite que de doux souvenirs, profitez-en pleinement !

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Les vacances au ski sont le moment de profiter de sa passion pour les sports de glisse et se retrouver le soir entre amis et famille autour d’un bon repas chaud. Mais un accident sur les pistes est malheureusement bien vite arrivé. Il est donc primordial de bien s’assurer.

Organisation du voyage 

Il vaut mieux prévenir que guérir. Équipez-vous correctement pour aller sur les pistes afin d’éviter de tomber malade ou de mourir de froid toute la journée. Pensez également aux lunettes ou masque de ski avec une bonne protection solaire afin d’éviter d’être aveuglé par la réverbération du soleil sur la neige.

Le ski est également un sport physique, faites du sport en amont pour vous y préparer. Plus votre corps sera résistant aux efforts plus le risque d’accident sera faible.

Sur place, suivez les règles recommandées par les gendarmes de haute montagne. Informez-vous sur les conditions météo ainsi que sur le plan des pistes afin de mieux appréhender les lieux. Hydratez-vous et mangez bien afin d’avoir l’énergie et l’endurance nécessaires. Échauffez et étirez-vous avant chaque journée de ski et fixez correctement votre matériel afin d’éviter de vous blesser.

Assurances vacances de ski

 Même si vous êtes bien préparé, certaines situations peuvent échapper à votre contrôle. Vous disposez sûrement d’une assurance sous votre mutualité de base. Cependant celle-ci ne vous protégera pas intégralement lors de vos vacances au ski. Les coûts annexes suivants ne sont souvent pas pris en charge. Ils sont pourtant très communs lors d’accident au ski.

• Frais de secours et de recherche sur piste, hors-piste et en randonnée
• Frais de santé en complément de la sécurité sociale
• Frais de rapatriement au domicile
• Frais du forfait et des leçons de ski non utilisées
• Frais du matériel de ski s’il a été abîmé lors de l’accident

D’autres assurances vous offrent une couverture plus complète.

Choix de la bonne assurance

Assurance assistance

Vous pouvez tout d’abord prendre une assurance voyage séparée. Mais vérifiez d’abord si celle-ci n’est pas déjà incluse dans vos couvertures existantes.

• Une assurance assistance temporaire prend en charge le rapatriement d’un blessé et de la famille, les frais de prolongation de séjour, les frais supplémentaires de voyage en cas de force majeure, le dédommagement en cas de retard, perte ou vol de bagages, une assistance téléphonique avant et après le départ et même une avance de liquidités pour les cas non couverts.
• Cette assurance intervient également pour l’assistance domicile, comme pour les frais médicaux et hospitaliers, perte ou vol des clés du domicile, ou dommages au domicile. Il peut donc être intéressant de ne pas la contracter que pour les vacances, mais sur base annuelle pour la vie de tous les jours.
• Par ailleurs, vous ne partirez probablement au ski qu’une fois par an. Mais si vous faites beaucoup de petites escapades sur base régulière, il peut à nouveau être plus intéressant de contracter une assistance sur base annuelle, ce qui vous permettra de pratiquer d’autres activités avec sérénité comme la randonné ou le VTT.
• Contrôlez également les franchises et les plafonds de vos couvertures car les factures peuvent vite grimper, notamment en cas de secours sur les domaines skiables ou de rapatriement. Une évacuation du bas des pistes vers un cabinet médical coûte en moyenne 184€, une évacuation en zone loin 395€ avec des prix plus élevés pour le hors-piste. Une évacuation en hélicoptère coûte quant à elle en moyenne 1938€.

Assurances liées aux cartes de crédit

Certaines cartes de crédit haut de gamme (comme la carte de crédit Gold) proposent des assurances voyage pour les dépenses réglées avec la carte. Il s’agit notamment de l’assurance annulation et accident de voyage.

• L’assurance annulation vous permet de récupérer les frais d’annulation ou d’interruption en cas d’accident, maladie, décès ou force majeure. Par exemple votre forfait pour les pistes, votre matériel ou vos leçons non utilisées suite à un accident pourraient vous être remboursés.
• Quant à l’assurance accident de voyage, elle vous dédommage une partie dans le cadre de vos voyages en transports en commun, et en cas d’accident provoquant un décès ou une invalidité permanente.
• Ces assurances peuvent également être couplée à l’assurance assistance mentionnée ci-dessus.

Assurances liées au forfait

Si vos assurances ne couvrent pas la totalité des frais ou des postes de dépenses vous avez l’option de souscrire à des assurances complémentaires lors du paiement de votre forfait ski. Celles-ci peuvent être assez larges et couvrir des éléments spécifiques aux séjours de ski ainsi que les frais médicaux non pris en charge par vos autres assurances.

Si votre départ est proche, vous devez être très impatient de profiter des bonnes sensations que vous procure la descente des pistes. Le ski n’est toutefois pas un sport sans risques. Espérez le meilleur mais préparez-vous au pire. Les différentes assurances mentionnées permettent d’être protégé en cas de pépin et de partir l’esprit tranquille.

Article en partenariat avec ING.

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Aujourd’hui, nombreux sont les étudiants qui partent à l’étranger durant leurs études, que ce soit pour un stage ou en séjour linguistique (Erasmus). Il s’agit d’une étape importante pour un jeune, et booster un CV. Voici 3 conseils signés TopCompare.be pour vous aider à préparer ce séjour incroyable.

Recherche d’une bourse

Qui dit départ à l’étranger dit bien souvent recherche d’une bourse. Et oui, un séjour linguistique, Erasmus ou autre coûte bien souvent trop d’argent. C’est la raison pour laquelle il est possible d’obtenir une bourse, selon certains critères.

Ainsi, si votre destination se trouve en Europe (ou en Islande, Macédoine, Norvège, Liechtenstein Turquie), vous pouvez vous postuler pour la bourse Erasmus+. Il s’agit de l’une des aides financières les plus connues en Union Européenne. Grâce à cette bourse, vous pouvez financer votre séjour de 3 à 12 mois en bénéficiant d’une aide qui peut s’élever à 500€ par mois.

Choix de la destination

En effectuant un stage à l’étranger ou un séjour linguistique, vous aurez énormément à apprendre. Durant cette période, vous continuerez à suivre des cours liés à vos études, que ce soit en anglais ou dans la langue du pays ciblé. Mais vous apprendrez également à connaître une nouvelle culture, à vous ouvrir à de nouvelles mœurs ainsi qu’à sortir de votre zone de confort.

Par ailleurs, étant donné que cette expérience apparaîtra sur votre CV, vous devez choisir votre destination de façon judicieuse. Il est donc essentiel de se poser les bonnes questions : pourquoi ai-je décidé d’effectuer un séjour linguistique ? S’agit-il d’un voyage découverte ou une anticipation de ma carrière ? Le programme proposé par l’université choisie correspond-il à mon domaine d’études ? La langue parlée dans le pays est-elle importante pour moi, a-t-elle une valeur ajoutée ? Quel est le niveau de vie sur place ?

Nombreux sont les jeunes qui visent le Royaume-Uni ou les États-Unis afin d’améliorer leur niveau d’anglais. Mais il existe tout un panel d’autres possibilités d’avoir des cours dans la langue de Shakespeare. Dans les pays scandinaves, par exemple, les cursus proposés sont généralement en anglais. C’est le cas, entre autres, au Danemark, en Norvège ainsi qu’en Suède.

Recherche de logement et vie locale

Cibler le pays désiré était donc la première étape. La suivante, et non des moindres, est de trouver un logement. Mais selon les pays, ce n’est pas une mince affaire. Au niveau des possibilités, vous pouvez, d’une part, aller à l’internat (c’est très courant en Russie, par exemple) et, d’autre part, trouver un kot ou une colocation. De la sorte, vous aurez la possibilité de parler une langue étrangère à la maison, ce qui vous permettra de voir vos compétences linguistiques grimper en flèche. En revanche, cela peut s’avérer compliqué dans certains pays. En Allemagne, par exemple, si vous souhaitez trouver un chouette appartement, vous devrez passer des « entretiens », assez similaires à un casting. Il est donc essentiel de bien s’y prendre à l’avance tant la paperasse et le chemin pour trouver un logement digne de ce nom peut être complexe.

L’idéal, par conséquent, est de préparer son séjour linguistique le plus possible en Belgique. Par ailleurs, pour éviter tout pépin sur place, il est possible de contracter une assurance habitation chez son courtier. En effet, en cas de dégradation ou de vol, vous serez couvert par votre assurance. Il en va de même si vous détériorez votre chambre ou logement. Ou si un incendie venait à se déclencher, une bonbonne de gaz venait à exploser ou encore si un tuyau d’eau venait à se rompre. Bref, vous serez bien couvert.

Ensuite, arriver dans une nouvelle ville n’est pas chose facile. Il peut donc être intéressant de vous mettre en contact avec des étudiants locaux. Vous pourrez, de la sorte, avoir des conseils quant aux meilleurs quartiers où loger, où sortir, où trouver un bon supermarché pas trop cher, … Grâce à eux, vous vous adapterez plus facilement et vous sentirez probablement plus intégré. Et pour contribuer à cela, certaines universités organisent un système de tandem linguistique : chaque étudiant en échange se voit attribuer un binôme local qui l’aidera à découvrir la ville et à venir à bout des différentes démarches administratives et autres. Mais si ce n’est pas le cas de votre université, vous pouvez, par exemple, vous rendre sur des sites de communautés ou sur différents groupes Facebook. Vous pouvez également rencontrer des gens via des sites de tandem linguistiques, grâce auxquels vous aurez l’occasion de pratiquer une langue. C’est totalement gratuit et, qui plus est, vous élargirez facilement élargir votre cercle de connaissances.

Finances et assurances : des étapes clefs

Souvent, partir en séjour linguistique signifie ouvrir un compte bancaire à l’étranger. Si la destination choisie est dans la zone euro, alors les conditions sont les mêmes qu’en Belgique. Et oui, les directives bancaires européennes facilitent ici la vie des citoyens européens. Vous devrez donc tout simplement fournir une pièce d’identité, que ce soit votre carte ou votre passeport, un justificatif de domicile ainsi que, dans certains cas, une preuve de revenus. Mais cette dernière n’est généralement pas nécessaire pour les étudiants. Afin de vous faciliter la tâche, vous pouvez opter pour un compte à distance, au moyen d’une signature digitale. En dehors de la zone euro, en revanche, les démarches seront plus nombreuses. Vous devrez donc impérativement vous renseigner au préalable auprès de la banque concernée.

Mais à l’étranger, tout comme en Belgique, nul n’est à l’abri d’un pépin quelconque. Il est donc vivement conseillé de contracter une assurance voyage afin de pallier tout problème. À titre d’exemple représentatif, l’assurance ING dite Lion Assistance couvre :

•         Les frais médicaux post-hospitaliers à l’étranger ;
•         Le rapatriement en Belgique en cas de nécessité ;
•         Les visites en cas d’hospitalisation ;
•         Le retour anticipé urgent.

En règle générale, il faut résider en Belgique au minimum 6 mois sur l’année pour pouvoir contracter une assurance. Mais grâce à tous ces conseils, vous partirez l’esprit tranquille et profiterez au maximum de ce séjour linguistique.

Article en partenariat avec ING.

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Tous les ans, près de 10.000 incendies domestiques se produisent en Belgique et ont des conséquences tragiques. Il est pourtant possible de prévenir ces feux dévastateurs en suivant quelques règles simples et en les enseignant aussi aux plus petits. Voici une checklist signée TopCompare.be qui vous aidera à vous protéger des incendies.

1. Faire installer des détecteurs de fumée

Environ 100 Belges perdent la vie dans un incendie domestique chaque année. Cela pourrait être évité grâce l’installation de détecteurs de fumée. Ceux-ci sont non seulement peu onéreux mais aussi facile à se procurer et à installer. Ils sont programmés pour détecter la fumée bien plus vite que l’homme et pourraient un jour vous sauver la vie !

2. Prendre ses précautions avec les appareils électriques

Cela paraît certes évident, mais répétons-le tout de même : les appareils électriques ne doivent ni être couverts, ni fonctionner lorsque vous n’êtes pas à proximité. Un radiateur couvert de linge à sécher peut facilement prendre feu, tout comme une friteuse laissée sans surveillance. De même, si vous partez en weekend ou vous absentez plus longuement que d’habitude, débranchez tout simplement vos appareils pour plus de sécurité. Une surchauffe est en effet vite arrivée et, qui plus est, vous utilisezde l’énergie pour rien.

3. Faire ramoner la cheminée

Légalement parlant, vous êtes obligé de faire ramoner votre cheminée une fois par an au minimum, et deux fois si le bois que vous utilisez pour vous chauffer n’a pas eu deux ans pour sécher. Une maintenance régulière de votre conduit permettra de vous débarrasser de la suie et autres résidus inflammables, qui sont par ailleurs la cause d’un tiers des incendies domestiques.

4. Faire attention aux cigarettes et aux bougies

Une cigarette mal éteinte peut faire bien des ravages. Prenez garde à bien les écraser dans votre cendrier et à ne jamais les jeter à la poubelle directement. Fumer au lit ou à proximité de matériaux inflammables peut aussi s’avérer dangereux. Il en va de même pour les bougies : ne les laissez pas sans surveillance et ne quittez pas la pièce sans les avoir éteintes.

5. Apprendre quelques règles de prévention incendie aux enfants

La prévention incendie commence dès le plus jeune âge ! Et oui, même les plus petits peuvent se retrouver confrontés à un feu et le mieux à faire est de leur apprendre les règles de base, juste au cas où. Quitte à inventer un jeu pour les intéresser, commencez par leur expliquer qui contacter en cas de problèmes, les bons réflexes à avoir comme par exemple se rapprocher du sol pour pouvoir mieux respirer, ou encore leur indiquer où se trouvent les couvertures de sécurité.

Quelques conseils à suivre au cas où un feu se déclare :

• Ayez toujours chez vous un extincteur et une couverture anti-incendie pour étouffer le feu
• Si ce n’est pas le cas, munissez-vous d’un tissu humide pour arrêter le feu
• Gardez les numéros d’urgence à la vue de tous afin de pouvoir réagir le plus vite possible en cas de panique
• Prévoyez un plan d’évacuation et discutez-en avec vos proche
• Une fois le feu éteint, coupez l’électricité et aérez jusqu’à ce que tout revienne à l’état normal
• Contactez votre fournisseur d’assurance habitation afin de déclarer le sinistre

Article en partenariat avec ING.

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Vous avez déjà votre permis en poche et n’aspirez qu’à une chose : acheter votre première voiture ? Ou vous ne l’avez pas encore mais ne pensez qu’à cela ? Vous ne savez cependant pas très bien comment la choisir ? Alors voici quelques astuces à suivre pour prendre une décision.

1. Le permis de conduire, une histoire de route

Pour prendre la route et avoir sa propre voiture, il est bien évidemment essentiel d’avoir son permis de conduire. Ce n’est pas encore votre cas ? Pas de panique, vous pouvez le passer en quelques mois seulement. Et deux possibilités s’offrent à vous. D’une part, si vos parents sont assez patients et souhaitent vous apprendre à conduire eux-mêmes, vous pouvez passer le permis en filière libre. Cela signifie que pendant plusieurs mois, voire plusieurs années, vous roulez en “conduite accompagnée”. Cela vous coûtera 51€ (15€ pour l’examen théorique et 36€ pour le pratique).

D’autre part, si vous souhaitez accélérer la cadence et avoir rapidement cette carte en poche, vous pouvez suivre des cours dans une auto-école. Mais cela implique de grosses dépenses. Et oui, vous seront facturés les frais d’inscription, les cours, l’examen ainsi que l’assurance. Cela représente un budget oscillant entre 900€ et 1.200€ selon les établissement.

2. Une belle neuve ou d’occasion

Acheter sa première voiture représente un fameux budget. Il est donc essentiel que vous établissiez le vôtre à l’avance afin d’avoir une meilleure idée de ce vers quoi vous tourner. Sera-ce un modèle neuf ou favoriserez-vous une occasion ? Le choix vous appartient ! Si vous avez la possibilité de vous tourner vers une voiture flambant neuve, toutes les cartes seront entre vos mains. Et oui, vous pourrez choisir la couleur, les différentes options ainsi que la motorisation. Mais si, tout comme environ 90% des jeunes conducteurs, vous choisissez un véhicule d’occasion comme première voiture, la facture sera moins salée. Vous serez en revanche plus restreint dans les possibilités d’options mais seul vous pouvez établir vos priorités.

Vous pouvez également couper la poire en deux et opter pour un véhicule de direction. Mais qu’est-ce exactement ? C’est une voiture acquise par une entreprise pour ses employés. Elle est généralement utilisée pour une très courte période (n’excédant généralement pas 6 mois) et est ensuite revendue aux concessionnaires. Étant donné qu’elle a peu de kilomètres et est en parfait état, elle est considérée par les banques comme véhicule d’occasion de moins de 2 ans. Grâce à cela, vous bénéficiez d’un crédit avec un taux avantageux.

3. Des formes pour toutes les préférences

Avant d’acheter sa première voiture, il est essentiel de se poser les bonnes questions afin d’orienter ses recherches. Quelle utilisation en aurez-vous ? À quelle fréquence ? Roulerez-vous plutôt en ville ou à la campagne ? Par ailleurs, gardez à l’esprit que, lors des premiers mois, il est possible que vous ayiez quelques accrochages.

Il est également important de réfléchir au carburant. En effet, si vous comptez parcourir moins de 30.000 km en une année, un véhicule essence sera plus intéressant qu’un diesel. Mais il est également possible de prendre un véhicule roulant au LPG ou d’opter pour un véhicule hybride ou électrique. Pensez donc à bien étudier les possibilités afin que la voiture réponde parfaitement à vos besoins.

4. Les à-côtés

Posséder un véhicule signifie avoir des dépenses annexes, surtout pour une première voiture étant donné que beaucoup d’éléments sont encore inconnus. En effet, il est important d’inclure dans son budget différents coûts annexes non négligeables, tels que :

• La plaque d’immatriculation qui vous coûtera 30€.
• La taxe de mise en circulation est à payer une seule fois. Le montant varie selon les régions, l’âge et la puissance du véhicule.
• La taxe de circulation doit être acquittée chaque année et dépend de la puissance du véhicule.
• Les entretiens et éventuelles réparations : ces coûts varient d’une marque à l’autre. Mais les entretiens sont habituellement effectués tous les 15.000 km ou tous les ans.
• L’assurance dépend du type d’assurance et de la compagnie choisie. Notez cependant qu’elle sera toujours plus importante pour un jeune conducteur.
• La consommation de carburant : généralement, plus la voiture est puissante, plus elle consomme.

5. Un financement sans souci

Vous l’avez donc compris, acheter sa première voiture n’est pas une mince à faire et il est important de prendre en compte tous les aspect financiers. Les budgets d’un véhicule neuf et d’un d’occasion ne sont pas du tout les mêmes. Mais dans les deux cas, le prêt voiture peut être une solution de financement intéressante. Cela vous évite d’imputer sur vos économies et vous permet d’étaler les paiements sur plusieurs années (avec une durée minimale de 6 mois).

Voici les possibilités qui s’offrent à vous en termes de financement auto :

• Apport personnel couplé à un prêt pour la somme restante. Par exemple, vous financez directement 20% de la somme et demandez un crédit de 80%.
• Crédit 100% vous permettant de couvrir l’entièreté de la facture.
• Prêt 110% ou 120% afin d’avoir les liquidités suffisantes pour combler les dépenses supplémentaires.

Vous êtes maintenant fin prêt à acquérir votre première voiture ? Alors n’attendez pas pour faire une simulation de crédit voiture chez ING. Vous pouvez également contacter un conseiller financier qui répondra à toutes vos questions.

Cet article a été écrit en collaboration avec ING.

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Nombreux sont les Belges qui sont déjà entrepreneurs ou qui n’aspirent qu’à une chose : quitter leur emploi monotone et se lancer dans la grande aventure. Ils sont 1.050.402 à avoir déjà sauté le pas. Voici 3 bonnes raisons de leur emboîter le pas et de créer son entreprise.

Prenez le contrôle votre vie

Régulièrement, vous vous demandez quelle est votre plus-value auprès de votre société actuelle ? Vous en avez marre d’avoir un patron qui vous dit sans cesse quoi faire ? Alors l’entrepreneuriat est sûrement fait pour vous ! C’est une réelle occasion de vous démarquer, de travailler dans le domaine de votre choix et de lier passion et travail. Car oui, être passionné par son travail est possible ! Et cela arrive plus souvent que vous ne pouvez le penser. En Belgique, la majorité des entrepreneurs créent leur entreprise dans les secteurs de l’industrie, du commerce de détail, des services et de la construction.

Adaptez votre job

En effet, vous lancer dans la grande aventure de l’entrepreneuriat vous permettra d’adapter votre travail à vos envies, vos désirs et vos connaissances. Vous serez à même de fixer vos règles et organiser votre agenda : fini l’éternel métro-boulot-dodo. Vous vous fixerez vos heures de travail et votre emploi du temps et seule votre productivité importera. Par ailleurs, vous ne cesserez d’apprendre car les challenges se succéderont et les opportunités de rencontrer de nouvelles personnes se multiplieront.

Être votre propre patron et pouvoir méticuleusement choisir l’équipe qui vous accompagnera chaque jour dans cette superbe aventure. Voilà ce qui vous attend ! En effet, en tant que fondateur, l’entreprise est votre bébé et vous mieux que quiconque en connaîtrez les besoins et objectifs. Ensuite, le réseau des startups ne cesse de grandir et vous rencontrerez sans aucune difficulté des nouvelles personnes avec une soif de réussir, d’oser et d’entreprendre.

Grandissez sans cesse

Créer son entreprise est une expérience comme nulle autre pareille. Certes, vous devrez prendre sur vous, travailler sans relâche et être flexible sur vos horaires, mais vous y gagnerez au change puisque vous vous enrichirez tant personnellement que professionnellement. En effet, lancer sa propre entreprise implique des connaissances dans des domaines variés et, par conséquent, beaucoup de recherches et éventuellement de formations. Établissements d’enseignement supérieur, universités, organismes de formations professionnelles et incubateurs de startups sont autant de possibilités pour en apprendre toujours plus dans le domaine de l’entrepreneuriat.

Soyez averti

Vous ne serez pas surpris de savoir qu’entamer une nouvelle vie d’entrepreneur et créer son entreprise n’est pas chose facile. En effet, à côté des points positifs, vous devez être conscient du revers de la médaille :

• Vous ne connaîtrez plus la stabilité financière. Fini le salaire fixe qui tombe tous les mois. Il variera selon les investissements. Mais bonne nouvelle : lorsque les affaires auront réellement démarré, vos revenus augmenteront.
• Les jours ne se ressembleront pas et vous pourrez dire adieu à l’horaire type 9-18. En effet, afin de faire fructifier votre entreprise, vous ne compterez plus les heures et travaillez parfois soirs et weekends pour rendre votre projet viable.
• Les démarches administratives se succéderont. Savoir, patience et rigueur seront donc essentiels afin d’être en ordre de papiers.

En tout cas, peu importe les difficultés et les obstacles rencontrés, souvenez-vous que c’est pour vous que vous le faites !

Si vous avez la moindre question, n’hésitez surtout pas à contacter un conseiller, il sera ravie de vous aider.

Cet article a été écrit en collaboration avec ING.

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